Presse
- Extraits de presse

Radio
- Transmission Campus, 2014

Filmographie
- Images de guerre, 2014
- Les couleurs vives, 2002
- L'atelier Chez Rita, 1994
- Reportage M6, 1992  (prochainement)
La Voix du Nord, Mai 2005
La Voix du Nord, Octobre 1998



 

EXTRAITS DE PRESSE

"Chez Sardina, le monde semble être un poème visuel. Sa palette est flamboyante, essentiellement méditérranéenne. Il lui serait difficile de ne pas avouer son admiration pour Matisse, tant ses oeuvres, dans leur conception et leurs couleurs, s'en approchent. Son écriture est rapide, simplifiée, ses notations impromptues, révélées d'une façon immédiate par le dessin et transfigurées par la magie des couleurs pures. Son lyrisme atteint au paroxysme quand il rend hommage à Pignon : en pleine possession de sa technique, il se déchaîne et nous propose un jeu d'arabesques hallucinantes. En totale liberté, son art, plein de fougue, respire la joie de vivre et l'énergie vitale pour y parvenir."
M. Peyjac
Paris-Normandie, 1989
(Tiré du compte rendu de l'exposition au Centre d'Art Contemporain de Rouen)



"Sardina, a lui seul, vaudrait le déplacement avec une savoureuse suite très colorée, du soleil au coeur d'une cité grise, une oeuvre qui chante le maître Matisse sans honte mais au contraire, avec joie, enthousiasme et humour (...)"
Rémi Parment
Liberté Dimanche, 1989



"D'un geste de peinture, il assure la transition entre l'écriture figurative du nu et son expression plus abstraite. La toile se couvre progressivement de signes monumentaux et monochromes, sobrement architecturés par quelques traits angulaires et d'arabesques circonscrits d'une ligne de contour. De l'union de ces signes anthropomorphiques et signes végétaux naît une figure hiératique. Elle semble célébrer l'Eden intemporel d'un état primitif.(...) Le principe d'analogies formelles, la recherche d'une écriture synthétique des contours du corps, l'absence d'autonomie entre le fond et la forme, leur articulation par de grandes masses colorées nettement définies caractérisent la démarche de Sardina. Elle se veut recherche de perfection formelle sans désavouer le parti décoratif de la peinture."
Sylvie Acheré
Docteur en Histoire de l'Art


"Essaim de couleurs.
Henri Matisse et Edouard Pignon sont à l'évidence les peintres qui comptent dans la vie de Marc Sardina. Mais pour aborder ce qui fait la personnalité, l'originalité de ce peintre, il faut tenter de se débarasser de leur influence.
Vie et couleurs, voilà ce qui frappe au premier regard. Le trait est ferme, mis en mouvement par la couleur, le flamboiement est intense, la couleur nous agresse, danse devant nous. C'est ce mouvement coloré qui donne sa richesse à la simplicité des formes, à l'acuité du trait.
La femme, sensuelle ou maternelle.
La principale inspiration de Marc Sardina est le nu, et particulièrement le nu féminin dans tous ses "états", de la sensualité à la lascivité jusqu'à la maternité où les enfants se fondent à en être englobés, intégrés dans les bras de leur mère. Le mouvement est saisi, l'opposition des couleurs lui donne vie.
Une musique méditérranéennne.
Les fleurs, les palmiers ne semblent être là que pour affirmer, plus encore s'il était besoin, le côté méditérranéen de cette oeuvre chaleureuse, d'où la musique naît naturellement, pour nous offrir cette danse du feu colorée réunissant les fragments de couleur en une unité de joie, de vie.
Tension et bonheur.
Une fois organisée par Marc Sardina, la couleur atteint son but en traduisant l'enthousiasme de cet artiste, ou en tentant de contenir la sensibilité à fleur de peau, l'angoisse, la tension que l'on ressent en rencontrant ce peintre. La jeunesse et la fougue s'expriment nettement dans ce déferlement de couleurs, organisé par l'artiste, et semblent bien représenter pour son auteur un exutoire, un immense défoulement. On imagine facilement l'extériorisation que doit être pour Marc Sardina le travail sur les grands formats qu'il affectionne particulièrement, l'énergie qu'il doit dépenser pour projeter ses grandes plages monochromes les unes contres les autres et leur donner vie, les mettre en scène, les structurer.
Promenons-nous dans le jardin de Marc Sardina, et faisons provision de couleurs et de lumières."
Docteur Pierre Duterte

Revue NPN Médecine, juin1994
Copyright © 2009-2016 Marc Sardina - Tous droits réservés - Webdesign : Bajou Media - Contact : marc.sardina@outlook.fr